• Nom . : William Shakespeare
• Avatar . : Hozier
• Personnage inventé/tiré de/personnage historique : Personnage historique revisité
• Race : Vampire
• Profession : Ecrivain, poète et dramaturge. Directeur du Deutsches Theater Berlin.
• Origine : Anglais, mais il y a bien longtemps  
• Age apparent : Entre trente et quarante ans
• Age réel : 356 ans
• Orientation sexuelle : Ouvert à tout et peur de rien
• Classe sociale : Elite culturelle
• Club Diogène : Ennemi du club
• Talents : Fais des vers comme on respire, à l'aise en poésie comme en dramaturgie, joue, compose, chante comme un dieu.
• Signes distinctifs :

• Génial
• Talentueux
• Drôle
• Spirituel
• Erudit
• Hautain
• Raciste
• Complexe de supériorité
• Colérique
• Tatillon
Pour faire simple... notre William a les qualités et les défauts du génie : il est écoeurant de virtuosité et le fait clairement comprendre aux gens face à lui, n'hésitant pas à mener toute une conversation en vers rien que pour montrer sa supériorité à son interlocuteur et lui donner une petite leçon. Mais il n'a pas toujours été William Shakespeare... Au fil du temps il a endossé d'autres noms et a fait varier son style afin que personne ne s'alarme de son étrange longévité ... Au fil du temps il est devenu également John Wilmot, Henry Fielding, John Keats et enfin Oscar Wilde . A chaque fois, dès que les soupçons commencent à peser sur lui, que ce soit sur sa nature vampirique mais aussi sur ses agissements parfois fort peu catholiques qui font se poser des questions, et que l'étau se resserre il disparaît, se glisse dans l'ombre, et laisse passer des années avant de revenir, avec une nouvelle identité, et un nouveau style. Il s'est d'ailleurs beaucoup amusé à jouer les jeunes premiers larmoyants avec Keats, par exemple et lui seul se délecte de voir toute une armada de jouvenceaux se pâmer devant ce poète et ses oeuvres, se sentant enfin compris, alors qu'il les a rédigés par parodie. Après avoir tué son Oscar Wilde qui faisait trop parler de lui il est revenu sous les traits d'un directeur de théâtre et metteur en scène de génie, prenant les rênes du tout nouveau Deutsches Theater Berlin qui a ouvert ses portes en 1883. Qui d'autre que lui peut comprendre les plus grandes pièces du répertoire allemand mais aussi britannique que celui-là même qui les a écrites, même sous différents pseudonymes? Surtout qu'avec Dracula, il a pu enfin se révéler sous son vrai visage, dévoiler ses astuces ce qui a mis le monde littéraire en émoi. Fier d'être vampire, heureux de ne plus avoir à se cacher, c'est tout naturellement qu'il a émigré en même temps que le prince de la nuit.

Il règne dans son théâtre plus qu'il ne le dirige, protégé et choyé par Dracula et toute l'aristocratie vampirique dont il fait partie, acclamé et adulé, comme une sorte de symbole de l'excellence des enfants de la Nuit.
Amateurs de littérature anglaise, ce personnage est pour vous! Toute la vie de William tourne autour des mots, que ce soit en recueils, en vers, en rimes, en prose, peu importe. Les mots sont son essence, son moteur, son besoin et son exutoire. C'est ce qui l'a fait briller au firmament et qui souvent le pousse à sa perte aussi... Surtout que c'est une diva, il faut se l'avouer. Il a une autre, très haute estime de lui-même, convaincu à juste titre qu'il est le meilleur auteur depuis plusieurs siècles et que personne dans tout l'Empire ne lui arrive à la cheville, ne voyant que de haut les autres auteurs, poètes, dramaturges qui ne lui apparaissent que comme des gratte papier. Il est également raciste envers les autres créatures que les vampires, les méprisant et leur faisant clairement comprendre qui est supérieur aux autres. Il va donc falloir manier la plume et le verbe avec brio, et dépoussiérer alexandrins, rimes riches et autres sonnets pour lui donner tout le panache auquel il prétend!

Ca sera aussi un beau challenge que de le voir mettre son talent au service du régime de Dracula!

La Casati : Amante et muse
La première rencontre a été un choc, une apparition : cheveux rouges, yeux ourlés de charbon, tenant deux léopards en laisse et roulée dans des fourrures, la Casati était une apparition presque fantastique. Les deux sont vite devenus inséparables, pour leur amour de l'art et du beau, leur affection pour les frasques et les coups d'éclat et ils s'aiment autant qu'ils se déchirent, deux caractères trop forts qui ne peuvent vivre ensemble trop longtemps. Alors ils s'aiment, s'éloignent puis se retrouvent.