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Abraham Van Helsing
Abraham Van Helsing
Admin tea lover & Enfant d'Eve et d'Adam
Messages : 271
Date d'inscription : 23/12/2020

Abraham Van Helsing Empty Abraham Van Helsing

Lun 31 Mai - 11:53
Abraham Aloysius Baltus

▬ NOM : Van Helsing
▬ PRÉNOM : Abraham Aloysius
▬ SURNOM : Bram
▬ ÂGE : 35 ans
▬ DATE DE NAISSANCE : 25 mai 1886
▬ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
▬ SITUATION FAMILIALE : Célibataire endurci, a une mère, deux soeurs et un frère qui sont restés à Amsterdam.
▬ PARTICULARITÉS : Fils du tristement célèbre Abraham Van Helsing qui a failli à tuer Dracula
▬ GROUPE : Humain
▬ RANG DANS LE CLUB : Etoile
▬ AVATAR : Ewan Mc Gregor

▬ CARACTERE :Abraham Van Helsing est quelqu’un de calme et de posé. Son éducation protestante, ses études et son expérience de traqueur l’ont rendu sombre et silencieux. Il aime passer du temps dans son hôtel particulier, qui recèle des merveilles du monde entier, ramenées de ses longs et nombreux voyages, mais est toujours disponible pour aider un étudiant méritant qui aurait besoin de lui. D’ailleurs, c’est un enseignant réputé et apprécié, qui sait se montrer bon et juste. Il ne se lie pas facilement, et a peu d’amis, car pour lui, qui ne fait pas partie du Club ne peut pas le comprendre totalement, et il s’en voudrait jusqu’à la fin de ses jours si quelqu’un qu’il appréciait souffrait à cause de sa « fonction ». . D’un point de vue physique, ses cheveux oscillent entre le blond vénitien et le roux clair, sa mâchoire carrée supporte parfois une barbe de quelques jours dûe à ses voyages, même s’il déteste être négligé. Ses yeux sont bleu-vert, et sa peau est relativement pâle. Il n’est pas très grand, mais ses épaules sont larges, et sa musculature est sèche mais développée. D’ailleurs, quand il ne chasse pas, il s’astreint à une séance d’exercice quotidienne, allant parfois jusqu’à nager dans le lac en plein hiver.
▬ ANECDOTES - A de multiples cicatrices gagnées au cours de ses années de missions - Tire à l'arbalète et au révolver mais est aussi bon épéiste - déteste les mondanités - Aime le cognac français et le tabac indien - Aime voyager - Danse terriblement mal et chante très faux, mais il joue correctement au piano.
▬ HABITUDES : Il aime lire, s’intéresse aux évolutions de la technologie et des sciences, et observe de près les travaux de Verne et Welles, qu’il trouve révolutionnaires et fascinants. Sinon il apprécie beaucoup le théâtre et l’opéra, parfois accompagné, mais la plupart du temps en solitaire
Histoire


- Monsieur a-t-il fait un bon voyage depuis Amsterdam ?
- Oui oui Jenkins, à part qu’il a fait un temps exécrable une bonne partie du trajet.
- Un bain chaud vous attend . Un sourire s’étale sur mes lèvres fatiguées.
- Merci Jenkins, que ferais-je sans vous.


Il me précède à l’intérieur, dépose mon sac sur mon bureau et disparaît en refermant silencieusement la lourde porte en bois pendant que j’ôte mon chapeau, ma cape de voyage, et que mes vêtements atterrissent progressivement sur le parquet soigneusement ciré. La porte de ma salle de bains est ouverte ,un feu ronfle dans la cheminée, et il a même prévu une bouteille de whisky sur un guéridon, à portée de main. Grand bien me prit cette nuit-là, de le sauver d’une attaque de loups-garous dans Wondel’s Park. Le pauvre type a été un peu amoché, mais il a voulu se mettre à mon service pour me montrer sa gratitude. Depuis, il est devenu le gardien de ma résidence de Berlin, et le dépositaire de mes secrets. Il sait ce que je fais, et se montre d’une grande aide, que ce soit pour aller acheter discrètement des produits et substances dont j’ai parfois besoin, cueillir des informations de première main auprès de ses collègues majordomes et domestiques ou bien m'aider à me soigner lorsque je ne peux le faire moi-même… Je m’enfonce dans l’eau chaude, laisse ma tête basculer en arrière. En regardant mes mains à travers l’eau mousseuse, mes bras couturés de cicatrices, je me dis que je fais ce métier depuis longtemps. Trop longtemps même, et pourtant je n’ai que 35 ans. Je ne compte même pas les fois où j’ai frôlé la mort de près… être dans le Club… métier ingrat, enfin… plus qu’un métier, une vocation, une malédiction aussi. Qui, pour moi, a commencé il y a bien longtemps.

Je suis né dans la belle ville d’Amsterdam, et grandi au bord des canaux qui traversent la cité. La famille Van Helsing était, et est toujours, notable et respectée, et mon enfance avait pour théâtre un de ces hôtels particuliers datant de la Renaissance, aux façades colorées recouvertes de sculptures, entouré d’antiquités et de belles choses. Ma mère était douce et tendre, mon père bon et érudit, et quand la Providence leur fit cadeau d’un fils, ils furent les personnes les plus comblées de cette terre. Mon père d’ailleurs, Abraham Van Helsing, était issu d’une longue lignée de professeurs d’université, de savants et de chercheurs remontant à Erasme, quand Amsterdam et Bruges rivalisaient avec Venise et Florence en matière de savoir, d’élégance et de raffinement. Ma mère, quant à elle, venait d’une famille de marchands d’art, et elle me transmit son amour pour les belles choses, la capacité de pouvoir rester une heure devant une toile, en quasi méditation. Très tôt je reçus une éducation complète, pour faire travailler mon corps comme mon esprit. J’appris l’escrime, l’équitation, le tir au pistolet, mais également le latin, le grec, la littérature, les sciences. Et même s’il m’arrivait parfois de faire l’école buissonnière pour aller jouer avec mes camarades le long des canaux, je n’étais pas trop mauvais dans ce que je faisais.

C’est à quinze ans que ma vie prit le chemin qui m’a amené jusqu’ici. Mon père me fit appeler dans son bureau, chose qui, en général, n’était pas de bonne augure. Pas franchement rassuré, je tentai de me souvenir tout au long du chemin de la bêtise qui aurait pu me valoir cet entretien, mais rien à faire. J’avais été plutôt sage ces dernières semaines. Il me demanda de refermer la porte derrière moi, avant de me faire signe de m’approcher. J’avançai à petits pas, tentant d’avoir l’air humble, et mon père me lança d’un ton sérieux.

Abraham, regarde-moi. Tu vas avoir quinze ans demain, et c’est l’âge où on devient un homme. Il est temps pour toi d’apprendre certaines choses sur notre famille.

Je le regardai sans comprendre. Je crus déceler un léger sourire à travers sa barbe avant qu’il ne se tourne, fasse pivoter une tête étrusque posée sur une étagère derrière lui et qu’un petit « clic » se fit entendre. C’est alors que je remarquai qu’une porte s’était révélée, dissimulée par les centaines de livres. Un passage secret ! J’avais l’impression de me retrouver dans certaines histoires que je lisais le soir, parlant de fantômes et de châteaux hantés. Il me précéda, me fit signe de le suivre, et à peine avais-je descendu quelques marches, la porte au-dessus de moi se referma en un soupir. Mon père n’y prêta pas attention, et s’enfonça dans les ténèbres, le bruit de ses pas rythmaient sa progression sur les marches de pierre usées par le temps. Nous arrivâmes bientôt dans une pièce aux voûtes de pierre. Mon père tourna les becs de gaz et je découvris des rayonnages pleins de livres, certains récents, d’autres qui semblaient être d’authentiques manuscrits antiques, ou de parchemins médiévaux. Mais ce n’était pas tout. Des objets hétéroclites étaient disposés un peu partout. Des fioles, des statues, des bocaux, des vitrines dans lesquelles reposaient des objets que je n’avais jamais vus de ma vie, et je crus distinguer aussi des rateliers d’armes ainsi qu’une table sur laquelle était disposé du matériel scientifique.

- Père… qu’est-ce que cet endroit ?

- Fils… Tu sais que je suis professeur en médecine à l’université d’Amsterdam.

- Oui père…


- C’est ce que je fais la journée. Aux yeux de tous. Mais notre famille a un secret. Un grand secret. Il faut que tu saches, fils, qu’il y a des choses dans ce monde, qui dépassent notre entendement. Dieu a permis l’existence de créatures surnaturelles, dont peu de gens connaissent l’existence, comme les vampires, les loup-garous, les démons. Tu as sans doute entendu parler de certaines d’entre elles dans ces histoires que Hilde te lisait quand tu étais petit. Celles des frères allemands, les Grimm. C’est vrai. Les Grimm, comme les Van Helsing, et quelques autres familles, connaissent l'existence de ces créatures et en surveillent les agissements. Elles veillent à ces êtres n’outrepassent pas les droits que Dieu leur a accordés, et interviennent si besoin. Je suis un traqueur, mon père l’était aussi, et le sien avant cela. Il est temps pour toi de commencer à ton tour, à perpétuer notre héritage.

J’étais abasourdi, et en même temps cette révélation expliquait beaucoup de choses. Les multiples et fréquents voyages de mon père, ses retours à des heures indues de la nuit, et ses blessures. Pendant longtemps, je croyais que mon père était la personne la plus maladroite du monde, cumulant coupures de rasoir, chutes de cheval et autres. En fait, il chassait. Il chassait ces créatures de cauchemar que la majorité ne prenaient que pour des légendes à faire peur. Un million de pensées se bousculaient dans mon esprit, je ne savais pas par où commencer, alors j’acquiesçai doucement, sans rien ajouter. Mon père me sourit et posa sa main sur mon épaule.

Ne t’inquiète pas fils, je vais t’apprendre. A partir de maintenant, tu vas apprendre à devenir un traqueur. Enfin… certains des savoirs qui te seront nécessaires, tu les maîtrises déjà depuis un long moment. Le latin, le grec, t’aideront dans la lecture de vieux documents. Le fait que je t’ai fait pratiquer de nombreuses activités sportives ont fait de toi un jeune homme résistant. Mais ce n’est que le début Abraham… il y a bien des choses à apprendre…

Dès le lendemain, et tous les jours où il était présent, nous allions travailler dans la fameuse pièce secrète. Dans un premier temps, nous travaillâmes surtout dans les livres, les manuscrits, pour que j’apprenne à connaître toutes ces créatures. Quels étaient leurs pouvoirs, quelles étaient leurs faiblesses, et comment les vaincre. Puis vint la préparation de potions, la création de balles en argent, l’entraînement au tir. Et à dix-sept ans, quand il m’estima prêt, il commença à m’emmener sur le terrain. Nous parcourûmes l’Europe au gré des télégrammes d’appels au secours que recevait mon père, et j’appris à vivre en ayant toujours un bagage prêt, et à être capable de partir en moins de cinq minutes. Je continuai également mes études, me spécialisant en médecine, philosophie et littérature. Et quand, lors d’une chasse au vampire dans une forêt sauvage des Carpates, je tuai ma première créature des ténèbres, mon père sut que le moment était venu.

Petit à petit, je rencontrai d’autres membres de cet obscur et mystérieux réseau, au gré des voyages avec mon père, et je commençai à me bâtir un solide réseau de contacts qui s’étendait jusqu’en Russie. Mon père et moi formions une bonne équipe. Il m’initia au maniement de la plupart des armes, même si celle que je préférais était une arbalète que j’utilise toujours. Je faisais faire différents types de flèches en fonction de ma proie, avec une pointe en bois, ou en argent… Je savais les moyens les plus rapides de me rendre dans les coins les plus reculés d’Europe, parler plusieurs langues, les us et les coutumes de plusieurs pays. Nous étions des ombres parmi les ombres, les bras armés de la justice divine contre les forces du mal. Et tout en étant un chasseur, je continuai mes études, et obtins le titre honorifique de docteur en médecine, suivant ainsi ses pas. Ces diplômes, ainsi que la réputation de mon père, m’ouvrirent des portes dans les principales universités d’Europe, ce qui nous servit plus d’une fois de couverture. J’aimais cette vie, cotoyer le danger, l’imprévu, l’excitation de la chasse, la satisfaction d’avoir fait la chose juste, le voyage… tout ça était grisant pour un jeune homme d’à peine vingt ans.

Cependant, Dieu décida de faire connaître à mon existence, et à celle de toute ma famille, une tournure bien singulière qui bouleversa qui j'étais, et ce en quoi je croyais. Un soir mon père reçut un télégramme provenant de Londres, un de ses anciens élèves, le DrSeward, l'appelait à l'aide pour une maladie mystérieuse dont souffrait une jeune fille qu'il aimait. Reconnaissant à ses mots la possibilité d'une affaire surnaturelle il partit, me laissant à mes premières armes en tant que médecin au dispensaire Onze Lieve Vrouwe, sans que je m'inquiète outre mesure. Après tout, il était habitué à ce genre de missions, et ne serait pas seul. Pourtant je déchantai rapidement. Il revint quelques jours plus tard en me racontant que la jeune fille était morte, victime d'un vampire très ancien dont il avait déjà entendu parler par le passé sans l'avoir croisé : Dracula. Jusqu'alors, Vlad Tepes s'était contenté de semer la terreur sur sa région natale, sous la supervision de chasseurs locaux, mais là, le vampire avait décidé qu'il avait besoin d'un nouveau départ, semblait-il, et que Londres serait la destination rêvée pour cela. A peine débarqué sur le sol anglais après avoir voyagé dans une caisse remplie de sa terre , il s'était attaqué à la fameuse jeune fille du nom de Lucy, et malgré les bons soins de mon père, des veilles à son chevet, des transfusions, la pauvre avait quitté ce monde. Mon père était dévasté, rongé par la culpabilité, et il resta sombre pendant plusieurs jours, jusqu'au moment où un autre télégramme lui refit faire ses bagages et disparaître dans la nuit pour ne plus revenir.

En effet, la jeune Lucy était devenue une enfant de la nuit, et en plus de cela, Dracula s'était attaqué à une autre jeune femme du nom de Mina, l'épouse d'un autre membre de leur équipe. Un compte à rebours s'est donc engagé afin d'exterminer la malédiction avant que la transformation de la pauvre Mina ne soit complète, et mon père ainsi que son équipe traversa l'Europe en train, en diligence et à cheval pour mettre fin aux agissements du monstre, et débarrasser la jeune femme de la malédiction qui la rongeait. Seulement ils arrivèrent trop tard, et ne purent arrêter le fléau qui devait, quelques années plus tard, changer le visage  du monde entier... Tous furent tués dans les montagnes abruptes des Carpathes, des crocs du comte ou par les bohémiens à son service  et le comte ainsi que Mina devenue sa favorite, réapparurent quelques années plus tard à Londres, qui passait ses derniers jours dans la béate ignorance de l'horreur qu'elle allait bientôt vivre. Il se rapprocha de Victoria, usa de ses pouvoirs d'hypnose sur elle, et arriva à l'épouser, malgré les protestations de toute la Cour et l'administration. Sauf que le mal était fait, et par les lois promulguées par Dieu et les hommes, la Bête devint roi...

C'est là que le cauchemar a commencé, car une fois sur le trône, hors de question pour le vampire sanguinaire de simplement parader et profiter du luxe et du raffinement londonien. Il a fallu qu'il révèle sa vraie nature, et avec lui, l'existence de centaines d'autres comme lui, qui vivaient cachés, mêlés aux humains, depuis des années, des décennies voire des siècles. Et la vague a déferlé, sur l'Empire britannique tout d'abord, et j'observais de loin et avec dégoût cette race que je haïssais devenir chaque jour plus puissante et plus nombreuse, avec des simples mortels se bousculant pour recevoir le baiser des ténèbres et devenir des abominations à leur tour. Le lien avec mon père fut vite fait, et on me fit comprendre que le fils du traitre, du faible qui avait échoué n'avait plus sa place dans le monde scientifique néerlandais... Alors j'ai fui, j'ai empaqueté quelques affaires et j'ai parcouru le monde, sillonnant les colonies française d'Afrique du Nord, explorant l'Asie, passant même quelques temps en Amérique du Nord, dans les tous jeunes Etats-Unis encore en pleine expansion.  C'est là que j'appris pour le spectaculaire renversement de situation de Dracula, son éviction du pouvoir après la mort de Victoria, et sa fuite. Pourtant même si cette nouvelle me rendit heureux, il restait toujours ce poids immense, cette culpabilité que portait ma famille, celle d'avoir porté une de ceux qui avaient échoué. Un des faibles.

Et j'eus raison de ne pas me réjouir trop vite à l'annonce de la fuite du vampire... Bien sûr, après avoir goûté à la gloire et au pouvoir, hors de question pour lui de retourner dans son château poussiéreux, entouré de villageois superstitieux clouant des loups et des chouettes aux portes de leurs granges et perdu dans des montagnes inhospitalières... Je le vis revenir avec horreur, cette fois auprès de Guillaume II, gagner en puissance et refaire là-bas ce qu'il avait instauré en Grande Bretagne. Quand la première guerre mondiale éclata, je suis revenu m'engager auprès des Alliés, et tenter d'apporter ma maigre contribution, espérant qu'en obtenant la victoire, le monde serait enfin débarrassé de cette menace sourde.

Pendant des mois, des années, j'ai paré au plus pressé, sauvé ce que j'ai pu, soigné, ligaturé, suturé ou amputé les pauvres âmes qui étaient amenées, toujours plus nombreuses, toujours plus blessées avec toujours moins de personnel et de moyens. J'ai passé des nuits blanches à donner de la morphine à des patients agonisants ou hurlants de douleur, pratiqué des opérations sous les tirs d'obus à la lueur de lampes à pétrole, mangé à la hâte entre deux brancards tout en donnant la liste des prescriptions à des infirmières épuisées, ces anges des hôpitaux. Jour après jour je suivais les avancées et les victoires des Alliés, tremblant de leurs échecs, me réjouissant de leurs victoires, jusqu'au verdit final : nous avions gagné. L'alliance des pays d'Europe avait mis en déroute l'armée de l'Empire, et encore une fois Dracula avait disparu.

Je rentrai pour quelques mois à Amsterdam auprès des miens, et c'est là que j'ai été approché par un membre du Club Diogène, m'expliquant leur organisation et le but qu'ils poursuivaient : faire tomber Dracula. Par chance, c'était également le mien, et il ne m'a pas fallu beaucoup de temps pour accepter de collaborer avec eux. Ils avaient besoin de quelqu'un au coeur de l'action, là où le combat contre le chef des vampires s'était déplacé : Berlin. Avec mes diplômes, mes connaissances et mon nom de famille, je n'aurai aucun problème à m'installer là-bas, où je serai vu comme le fils de celui qui a permis à leur chef bien-aimé de sortir de l'ombre, et à eux d'obtenir leur nouveau statut d'enfants de la nuit... J'ai donc rassemblé mes quelques affaires, recontacté Jenkins qui était revenu à la vie civile et qui fort heureusement accepta avec joie de revenir à mon service et je suis parti, devenant en quelques mois un chirurgien réputé, et assurant même quelques cours à l'université Frédéric-Guillaume et m'installant dans un petit hôtel particulier au centre ville. Aux yeux de tous j'arborai la mine d'un sympathisant de leur cause, reconnaissant le bien fondé de la mort de mon père, même si ces mots étaient une torture à prononcer, et petit à petit j'arrivai à fréquenter certains de leurs cercles, tout en assurant des missions pour le Club.

Le joueur
Partie joueur
▬ Pseudo : JimNoir
▬ Prénom : Sophmoute
▬ Âge : 35 printemps
▬ Pays : les cigognes
▬ Fréquence de connexion : 3 nuits par semaine
▬ Inventé, tiré de la littérature, scénario ? Tiré de la littérature, remis à ma sauce
▬ Comment avez-vous connu le forum ? Je l'ai construit?
▬ Commentaires : C'est parti!!
Mathias De Cosset-Brissac
Mathias De Cosset-Brissac
Admin oiseau de nuit & Enfant de la magie
Messages : 69
Date d'inscription : 11/04/2020

Abraham Van Helsing Empty Re: Abraham Van Helsing

Lun 31 Mai - 17:29
Félicitations !
.
Comme tu es beau toi.  What a Face  Allez, va commencer à sauver le monde !

Maintenant que tu es validé(e), te voilà prêt(e) à t'aventurer dans tout Berlin, mais attention aux rencontres que tu y feras ! Nos te conseillons de commencer par te recenser dans les différents bottins du forum que tu trouveras ici, puis,  de faire toute la paperasse nécessaire pour te trouver des partenaires de jeu juste et enfin, si vous en avez besoin, de vous créer logements et autres lieux de travail histoire de recevoir convenablement vos invités, dans ce sujet ci !

Voilà il ne me reste plus qu'à te souhaiter bon jeu, et t'inciter, si ce n'est pas fait, à nous rejoindre sur Discord.  Cool
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