Severin K. Jäger
▬ NOM : Jäger, un nom banal dans les campagnes allemandes. Mais son père n’était plus chasseur mais simple bûcheron.
▬ PRÉNOM : Severin Klauss.
▬ SURNOM : Rin, ou “sale petit escroc”, “vermine”, ça dépend des gens !
▬ ÂGE : 18 ans. Un âge plein d'insouciance, mais les ombres de l'âge adulte l'ont déjà un peu happé.
▬ DATE DE NAISSANCE : 21 décembre 1903. Il est né dans le froid de l'hiver, il l'a réchauffé de ses sourires fripons.
▬ ORIENTATION SEXUELLE : Comme tout le monde ? On est pas sensé aimé les filles quand on est un garçon ? Quoi ? On lui aurait menti toute sa vie ?
▬ SITUATION FAMILIALE : Orphelin. Célibataire. Parasite ?
▬ PARTICULARITÉS : Severin a une tache de naissance en forme de croissant de lune sur le cou, il a toujours trouvé ça assez incroyable. - Il a un très fort accent bavarois. - Il est doté d’une très bonne acuité visuelle, on le surnommait l’aiglon dans son village.
▬ GROUPE : Humain. Et bien content d’être tout ce qu’il y a de plus normal dans ce monde de plus en plus bizarre.
▬ RANG DANS LE CLUB : Il n'en fait pas parti, il est un peu trop jeune pour ça, non ? Mais clairement, il aimerait bien avoir assez de valeur pour y rentrer un jour !
▬ AVATAR : Lucas Jade Zumann
▬ PRÉNOM : Severin Klauss.
▬ SURNOM : Rin, ou “sale petit escroc”, “vermine”, ça dépend des gens !
▬ ÂGE : 18 ans. Un âge plein d'insouciance, mais les ombres de l'âge adulte l'ont déjà un peu happé.
▬ DATE DE NAISSANCE : 21 décembre 1903. Il est né dans le froid de l'hiver, il l'a réchauffé de ses sourires fripons.
▬ ORIENTATION SEXUELLE : Comme tout le monde ? On est pas sensé aimé les filles quand on est un garçon ? Quoi ? On lui aurait menti toute sa vie ?
▬ SITUATION FAMILIALE : Orphelin. Célibataire. Parasite ?
▬ PARTICULARITÉS : Severin a une tache de naissance en forme de croissant de lune sur le cou, il a toujours trouvé ça assez incroyable. - Il a un très fort accent bavarois. - Il est doté d’une très bonne acuité visuelle, on le surnommait l’aiglon dans son village.
▬ GROUPE : Humain. Et bien content d’être tout ce qu’il y a de plus normal dans ce monde de plus en plus bizarre.
▬ RANG DANS LE CLUB : Il n'en fait pas parti, il est un peu trop jeune pour ça, non ? Mais clairement, il aimerait bien avoir assez de valeur pour y rentrer un jour !
▬ AVATAR : Lucas Jade Zumann
▬ CARACTERE : Severin c’est un sacré bout d’entrain, il est toujours souriant, toujours à raconter les dernières histoires rigolotes qu’on lui a rapporté. Il a en permanence cet air fripon sur le visage. Un gentil fripon. Parce qu’il est pas bien méchant le petiot, il est plutôt du genre à arrondir les angles et éviter les bagarres. Mais si elle est inévitable, il ne va pas se dégonfler. Même s’il n’est pas très doué, il a sa fierté de petit coq. Il apprécie de découvrir de nouvelles choses, un peu trop curieux parfois, il a tendance à voir et à entendre ce qu’il ne devrait pas. Et dites vous qu’un secret qu’il apprend n’a plus rien d’un secret la plupart du temps ! Cette petite canaille sait aussi comment faire pour se débrouiller, pour se sortir des soucis en filoutant. Mais malgré cette apparente débrouillardise, il n’en reste pas moins naïf. Il a grandi à la campagne, dans un environnement assez bienveillant, il a du coup tendance à vite faire confiance aux autres, à être plutôt franc et honnête aussi, et on peut aussi trouver qu’il manque de culture. Mais il est encore jeune, son caractère est encore assez malléable. Même si la mort de ses parents lui a fait perdre cet éclat de pure innocence qu’il avait dans le regard il y a quelques mois. Il ne le montre que peu, mais le massacre de sa famille est une vive douleur. Il s’accroche à ce que Bram lui a offert, comme une famille de substitut, la peur d’être abandonné ou seul tellement présente en lui.
▬ ANECDOTES : Cadet de sa famille, il a toujours été un peu plus privilégié que ses frères et sœurs. - Bon élève, il se débrouillait bien à l’école, mais l’a quitté parce qu’il devait aider sa famille. Il était en train d’apprendre le métier de bûcheron, et s’y destinait même s’il n’éprouvait pas une grande passion pour ça. - Dans son village, il faisait les meilleurs yodles et il chante plutôt bien. - Il s’y connaît très bien en bois, et en coupe du bois.
▬ HABITUDES : Severin a une grande passion pour... les Strudels ! C'est son péché mignon, il pourrait en manger tout le temps. - Il fume un peu, pour faire comme les autres hommes de son entourage, mais il n'est pas un très gros fumeur. Il a quand même une pipe que son père lui avait offert. - Tous les matins, il aime se promener aux aurores, pour profiter des rumeurs fraîches. Et oui, il adore les ragots ce filou !
▬ ANECDOTES : Cadet de sa famille, il a toujours été un peu plus privilégié que ses frères et sœurs. - Bon élève, il se débrouillait bien à l’école, mais l’a quitté parce qu’il devait aider sa famille. Il était en train d’apprendre le métier de bûcheron, et s’y destinait même s’il n’éprouvait pas une grande passion pour ça. - Dans son village, il faisait les meilleurs yodles et il chante plutôt bien. - Il s’y connaît très bien en bois, et en coupe du bois.
▬ HABITUDES : Severin a une grande passion pour... les Strudels ! C'est son péché mignon, il pourrait en manger tout le temps. - Il fume un peu, pour faire comme les autres hommes de son entourage, mais il n'est pas un très gros fumeur. Il a quand même une pipe que son père lui avait offert. - Tous les matins, il aime se promener aux aurores, pour profiter des rumeurs fraîches. Et oui, il adore les ragots ce filou !
Histoire
Dernier né d’une fratrie de 5 soeurs, Severin était comme une bénédiction. Enfin un homme pour continuer la lignée de la famille. Autant vous dire qu’il fut plutôt privilégié par rapport à ses grandes soeurs. Il avait l’indulgence de sa mère, et il faisait la fierté de son père. D’un tempérament très vif, dès son plus jeune âge, il était de ceux qui couraient dans les prés et grimpaient dans les arbres. La vie dans la campagne bavaroise lui convenait, il se contentait des plaisirs simples, il était un enfant espiègle et rieur. Tout faisait son bonheur, mais surtout : les câlins de sa mère, les contes racontés par son père au coin du feu en hiver, et les apfelstrudels !
A l’école, il démontra de bonnes capacités d’apprentissage. Il avait une facilité déconcertante pour mémoriser rapidement. Un esprit très vif. Surtout quand il s’agissait de faire des provocations à son maître d’école. Autant vous dire qu’il n’était pas rare qu’il prenne des coups de règles sur les doigts. Et souvent, c’était doublé par une bonne trempe en rentrant. Mais rien n’y faisait, Severin restait ce fripon capable de tenir tête juste par fierté. Il avait un caractère de cochon parfois. On accusait sa mère de l’avoir trop gâté, mais entendons nous, Frau Jäger n’y était pour rien. S’il faisait le désespoir des adultes, il avait acquis une notoriété certaine chez les enfants du village. Leader incontesté des lieux, chef des jeux, et grand sage quand il s’agissait de régler les bagarres. Un rôle qui lui plaisait plutôt.
La Guerre éclata l’année de ses 11 ans. Le plus difficile, ce fut de voir son père partir. Sans être sûr qu’il revienne. Il avait continué l’école mais il aidait plus sa mère à la maison, il faisait des menus travaux aux alentours pour ramener un peu d’argent complémentaire. Ils avaient la chance d’avoir leurs propres terres à cultiver. Cela garantissait une vie pas confortable mais correcte. Ses soeurs partirent à la ville. Quand son père revint en 1918, il était le dernier enfant de la maison. Et encore, il était presque un homme.
Il arrêta l’école. Et il apprit le métier de bûcheron avec son père. Parce que c’était ce qu’il devait faire. Mais chaque lettre de ses sœurs éveillait en lui l’envie d’aller en ville. De partir. De voir des choses plus grandes. De voir plus que leur petite campagne. Seulement, il devait continuer d’aider son père. Et puis, il était l’héritier, non ? C’était ce qu’il devait faire, marcher dans les pas de son père.
Et puis, tout avait basculé en décembre 1920. Un loup sévissait dans la région. Un loup très agressif. Les ravages étaient plus grand à la pleine lune. Et ce grand méchant loup tomba un jour sur leur maison. C’était un loup terrible. Son père essaya de se battre. Sa mère n’eut aucune chance. Et lui… Lui, il avait couru. Aussi vite que possible. Et puis, il avait grimpé, au plus haut qu’il pouvait. Il était resté en haut de ce sapin jusqu’au lever du jour et plus encore. Quand on l’avait retrouvé, il avait une griffure sur le torse. Et il disait à qui voulait bien l’écouter que ce qui les avait attaqué, ce n’était pas un simple loup.
Un homme était arrivé dans le village après les funérailles de ses parents. Abraham Van Hellsing. Il n’avait pas l’accent du coin. Ni même un accent allemand à ce qu’il savait. Mais c’était la seule personne à le croire quand il disait que ses parents n’avaient pas été tué par un simple loup. Il avait suivi cet homme. Parce qu’il sentait, il présentait qu’il y aviat plus que ce qu’on voulait bien lui dire. Et quelque part, il avait raison. Il y avait tout un monde qu’il ne connaissait pas. Qu’on ne voulait pas qu’il connaisse. Trop tard.
“Me renvoyez pas là bas S’il vous plaît. J’ai plus personne. Je veux protéger les gens. Je veux faire ce que vous faites. Me laissez pas, monsieur Van Hellsing.”
Est-ce que se cacher dans les bagages de Monsieur Van Hellsing était une bonne idée ? Sans doute que non, mais ça avait été la sienne. Et puis, peut-être qu’il avait attendri l’homme. Allez savoir pourquoi Monsieur Van Hellsing avait accepté qu’il reste travailler pour lui. Severin était devenu son messager. Son espion parfois. Son plus fidèle élève à n’en point douter.
A l’école, il démontra de bonnes capacités d’apprentissage. Il avait une facilité déconcertante pour mémoriser rapidement. Un esprit très vif. Surtout quand il s’agissait de faire des provocations à son maître d’école. Autant vous dire qu’il n’était pas rare qu’il prenne des coups de règles sur les doigts. Et souvent, c’était doublé par une bonne trempe en rentrant. Mais rien n’y faisait, Severin restait ce fripon capable de tenir tête juste par fierté. Il avait un caractère de cochon parfois. On accusait sa mère de l’avoir trop gâté, mais entendons nous, Frau Jäger n’y était pour rien. S’il faisait le désespoir des adultes, il avait acquis une notoriété certaine chez les enfants du village. Leader incontesté des lieux, chef des jeux, et grand sage quand il s’agissait de régler les bagarres. Un rôle qui lui plaisait plutôt.
La Guerre éclata l’année de ses 11 ans. Le plus difficile, ce fut de voir son père partir. Sans être sûr qu’il revienne. Il avait continué l’école mais il aidait plus sa mère à la maison, il faisait des menus travaux aux alentours pour ramener un peu d’argent complémentaire. Ils avaient la chance d’avoir leurs propres terres à cultiver. Cela garantissait une vie pas confortable mais correcte. Ses soeurs partirent à la ville. Quand son père revint en 1918, il était le dernier enfant de la maison. Et encore, il était presque un homme.
Il arrêta l’école. Et il apprit le métier de bûcheron avec son père. Parce que c’était ce qu’il devait faire. Mais chaque lettre de ses sœurs éveillait en lui l’envie d’aller en ville. De partir. De voir des choses plus grandes. De voir plus que leur petite campagne. Seulement, il devait continuer d’aider son père. Et puis, il était l’héritier, non ? C’était ce qu’il devait faire, marcher dans les pas de son père.
Et puis, tout avait basculé en décembre 1920. Un loup sévissait dans la région. Un loup très agressif. Les ravages étaient plus grand à la pleine lune. Et ce grand méchant loup tomba un jour sur leur maison. C’était un loup terrible. Son père essaya de se battre. Sa mère n’eut aucune chance. Et lui… Lui, il avait couru. Aussi vite que possible. Et puis, il avait grimpé, au plus haut qu’il pouvait. Il était resté en haut de ce sapin jusqu’au lever du jour et plus encore. Quand on l’avait retrouvé, il avait une griffure sur le torse. Et il disait à qui voulait bien l’écouter que ce qui les avait attaqué, ce n’était pas un simple loup.
Un homme était arrivé dans le village après les funérailles de ses parents. Abraham Van Hellsing. Il n’avait pas l’accent du coin. Ni même un accent allemand à ce qu’il savait. Mais c’était la seule personne à le croire quand il disait que ses parents n’avaient pas été tué par un simple loup. Il avait suivi cet homme. Parce qu’il sentait, il présentait qu’il y aviat plus que ce qu’on voulait bien lui dire. Et quelque part, il avait raison. Il y avait tout un monde qu’il ne connaissait pas. Qu’on ne voulait pas qu’il connaisse. Trop tard.
“Me renvoyez pas là bas S’il vous plaît. J’ai plus personne. Je veux protéger les gens. Je veux faire ce que vous faites. Me laissez pas, monsieur Van Hellsing.”
Est-ce que se cacher dans les bagages de Monsieur Van Hellsing était une bonne idée ? Sans doute que non, mais ça avait été la sienne. Et puis, peut-être qu’il avait attendri l’homme. Allez savoir pourquoi Monsieur Van Hellsing avait accepté qu’il reste travailler pour lui. Severin était devenu son messager. Son espion parfois. Son plus fidèle élève à n’en point douter.
Le joueur
▬ Pseudo : Sombrelune
▬ Prénom : Cedrik
▬ Âge : 29 ans
▬ Pays : France
▬ Fréquence de connexion : Souvent !
▬ Inventé, tiré de la littérature, scénario ? : Inventé
▬ Comment avez-vous connu le forum ? Par Bram !
▬ Commentaires : Me tapez pas si je dis des bêtises pas histo-compatibles...