Luisa Casati
▬ NOM :Casati
▬ PRÉNOM : Luisa Adela Rosa Maria
▬ SURNOM : La Casati, La Marchesa Casati
▬ ÂGE : 41 ans, figée à 25
▬ DATE DE NAISSANCE : 28 Janvier 1881
▬ ORIENTATION SEXUELLE : Luisa ne s’attache pas au genre de la personne, elle aime sans réserve et sans barrières.
▬ SITUATION FAMILIALE : Mariée au marquis Camillo Casati Stampa di Soncino, mais légalement séparée de lui, Luisa ère d’amant en amante à travers l’Europe.
▬ PARTICULARITÉS : D’une grande excentricité, la Casati se déplace rarement sans ses guépards qu’elle tient en laisse. Elle leur a donné le nom de ses défunts parents : Alberto et Luisa. Son cou est souvent orné de son boa constricteur qu’elle a nommé Drac, hommage absolument pas déguisé à Dracula qu’elle se plait à inviter à chacune de ses soirées. Elle parle beaucoup, et puis d’un coup se tait, lassée par une conversation. La marquise fait absolument tout pour se faire remarquer.
Ah et, ne soyez pas choqué, elle embrasse tout le monde.
▬ GROUPE : Vampires
▬ RANG DANS LE CLUB : C’est une fidèle au prince de la nuit, elle a bien d’autres chats à fouetter qu’un club d’illuminés fumant le cigare dans un boudoir !
▬ AVATAR : Tilda Swinton
▬ PRÉNOM : Luisa Adela Rosa Maria
▬ SURNOM : La Casati, La Marchesa Casati
▬ ÂGE : 41 ans, figée à 25
▬ DATE DE NAISSANCE : 28 Janvier 1881
▬ ORIENTATION SEXUELLE : Luisa ne s’attache pas au genre de la personne, elle aime sans réserve et sans barrières.
▬ SITUATION FAMILIALE : Mariée au marquis Camillo Casati Stampa di Soncino, mais légalement séparée de lui, Luisa ère d’amant en amante à travers l’Europe.
▬ PARTICULARITÉS : D’une grande excentricité, la Casati se déplace rarement sans ses guépards qu’elle tient en laisse. Elle leur a donné le nom de ses défunts parents : Alberto et Luisa. Son cou est souvent orné de son boa constricteur qu’elle a nommé Drac, hommage absolument pas déguisé à Dracula qu’elle se plait à inviter à chacune de ses soirées. Elle parle beaucoup, et puis d’un coup se tait, lassée par une conversation. La marquise fait absolument tout pour se faire remarquer.
Ah et, ne soyez pas choqué, elle embrasse tout le monde.
▬ GROUPE : Vampires
▬ RANG DANS LE CLUB : C’est une fidèle au prince de la nuit, elle a bien d’autres chats à fouetter qu’un club d’illuminés fumant le cigare dans un boudoir !
▬ AVATAR : Tilda Swinton
▬ CARACTERE : Imprévisible et égocentrique, la Marchesa Casati ne pense qu'à elle et à sa richesse. Dépensière, elle jette son argent par les fenêtres. Esthète, elle estime que l'art est au dessus de tout et adore les conversations qui tournent autour. Luisa Casati est également une personne cultivée, mécène de nombreux artistes. Elle peut devenir capricieuse lorsqu'elle n'obtient pas ce qu'elle veut, ou lors d'une saute d'humeur, ce qui est assez fréquent.
▬ ANECDOTES Le 28 Janvier 1906, jour de son anniversaire, la marquise a organisé une grande soirée pour sa transformation. La place Saint-Marc à Venise a été réquisitionnée par sa personne. Splendide, éblouissante, Luisa fait son apparition mystique drapée d’or dans un gondole couverte d’orchidée. « Regardez-les m’admirer ! » Disait-elle aux gondoliers. « Ce soir, je serai immortelle, on parlera de moi pour toujours ! ». Personnage ambigüe, personne ne croyait à ses dires, arrangeant les histoires de la fantastique créature. Et pourtant, au petit matin, une fois tout le monde endormi, elle se réveilla pour ne plus jamais se rendormir. ▬ HABITUDES Les habitudes ? C'est pour les faibles ! Luisa a besoin de divertissement, elle s'ennuie très vite. Installez-lui une routine et elle dépérit !
▬ ANECDOTES Le 28 Janvier 1906, jour de son anniversaire, la marquise a organisé une grande soirée pour sa transformation. La place Saint-Marc à Venise a été réquisitionnée par sa personne. Splendide, éblouissante, Luisa fait son apparition mystique drapée d’or dans un gondole couverte d’orchidée. « Regardez-les m’admirer ! » Disait-elle aux gondoliers. « Ce soir, je serai immortelle, on parlera de moi pour toujours ! ». Personnage ambigüe, personne ne croyait à ses dires, arrangeant les histoires de la fantastique créature. Et pourtant, au petit matin, une fois tout le monde endormi, elle se réveilla pour ne plus jamais se rendormir. ▬ HABITUDES Les habitudes ? C'est pour les faibles ! Luisa a besoin de divertissement, elle s'ennuie très vite. Installez-lui une routine et elle dépérit !
Histoire
1896 – Italie « Francesca, siamo ricchi ! »
Alors que l’aînée pleure la mort de leur dernier parent, la cadette elle, se prend à rêver. Plus grosse fortune italienne, les deux jeunes femmes se retrouvent alors courtisées par des hommes dont la richesse et la noblesse dépassent toutes les espérances des jeunes filles à marier du pays. Luisa jette son dévolu sur le marquis Casati Stampa di Soncino, marquis de son état. Il ne lui plait pas, elle le trouve bête, mais il a au moins le mérite d’avoir une fortune bien établie.
1901 – Italie « È una ragazza ! »
La voilà maintenant mère, libérée de tout devoir conjugal. Le couple Casati décide alors de mener des vies séparées, pour le plus grand bonheur de Luisa qui s’occupe bien peu de sa fille, préférant le luxe et le faste des soirées qu’elle organise autour d’elle, et surtout pour elle. Luisa ne prend même pas la peine de s'occuper de son éducation. C'est à peine si elle se souvient de son anniversaire.
Oui, elle s’aime la marquise. Il n'y a pas de place pour un autre être dans son coeur. Son ambition est telle qu’elle rêve d’être plus représentée que la Sainte Vierge. Alors, elle donne son argent, devient mécène et se fait peindre. Ses portraits côtoient les animaux exotiques au Palazzo Venier dei Leoni. Chaque fête est l’occasion de dévoiler un nouveau portrait. « Regardez-moi comme jamais vous ne m’avez regardé » semble-t-elle leur dire à travers chaque événement. Lorsqu’elle organise ces mondanités, tout n’est que décadence, faste et luxe. Luisa se perd, se trouve, s’égare et se retrouve. Luisa se teint les cheveux en rouge et se pare d’un serpent en guise de collier. Ses chapeaux sont ornés de plumes de perroquet. L’ont dit d’elle qu’elle mange de la viande crue et boit du champagne pour garder la ligne. Luisa ne commente pas les dires, Luisa est bien au-dessus. « Je suis la Marchesa Casati, que voulez-vous que je vous dise de plus ? »
1906 – « Je crois que j’amuse le Prince. »
Sa transformation est une renaissance. Maintenant immortelle, la Marchesa n’a plus aucune limite. Égoïste, elle dépense sans compter, nourrissant les artistes, hébergeant le ballet russe, s’habillant avec des tenues plus extravagantes et plus coûteuses les unes que les autres.
On lui connaît alors de grandes colères, des excentricités sans nom. Elle ne peut plus sortir comme avant, elle s’emmitoufle d’ombre, fait fermer les volets de sa demeure, drape ses fenêtres d’épais rideaux. Certains la disent en prise à la folie, pourtant une fois la nuit tombée, elle jaillit, illuminée par la noirceur de ses journées. Et pour ne plus être seule, elle s’entoure. Elle prend des amants, des amantes, les aime, les fait s’aimer, apprend la liberté et se libère. La Casati apprend à être une autre personne, découvre le goût du sang et dompte sa soif irascible.
1920 – Berlin « Sarah Bernhardt ? Je la détrône. »
Dans son univers, il n’y a qu’elle. Après une année en France à s’obstiner à vouloir être plus célèbre que Sarah Bernhardt, la Casati fait son arrivée à Berlin, suivant Dracula comme une ombre afin de le satisfaire toujours plus. S’il y a bien une personne qu’elle craint plus qu’elle-même, c’est le prince. Tout ce qu’elle souhaite, c’est le divertir, se divertir. Alors parfois, elle va trop loin, et sans qu’elle ne sache pourquoi il passe outre. « C’est parce que je suis plus intéressante que cette connasse de Sarah Bernhardt ça. ». Comment cela peut-il en être autrement ? Sarah n’a pas été transformée.
Et parfois, ses oreilles frémissent quand elle entend un nom. Elle apprend que William Shakespeare est en vie, qu’il est l’un des siens, qu’il a eu de nombreuses autres vies. John Wilmot, Henry Fielding, John Keats et Oscar Wilde sont en fait la même personne. Elle rit à gorge déployée lorsqu’elle apprend qu’il est à Berlin. Autoritaire, elle déclare : « Il doit venir ce soir, invitez-le pour moi ! ». Mais il ne viendra pas. Qui est donc cet étrange personnage qui ose refuser l’invitation de la marquise ? « Je dois l’impressionner, c’est compréhensible ! » Elle se rend elle-même au Deutsches Theater. « Vous l’avez écrite pour moi. »
« Comment ? »
« Cette phrase-là, dans Antoine et Cléopâtre. C’était moi. »
« Vous êtes ? »
« Ne faites pas comme si vous ne saviez pas. » Levant son bras droit pour laisser son serpent du jour s’y enrouler, la marquise monte les marches qui la mènent à la scène. Sa peau diaphane se pâme devant la lumière lorsqu’elle déclame accompagnée de son accent : « L’âge ne peut la flétrir, ni l’habitude épuiser l’infinie variété de ses appas. »
« J’en ai connu dont l’interprétation était meilleure. »
« Je n’ai jamais prétendu être comédienne monsieur Shakespeare. »
Depuis, ils s’aiment, se détestent, se comprennent et Luisa s’en fiche. Elle le délaisse, il la délaisse et ils finissent par se retrouver. Il la fascine autant qu’il l’exaspère, c’est-à-dire bien trop.
Luisa Casati est immortelle, et c’est bien tout ce qui compte. Désormais, ce ne sont pas uniquement ses fantaisies qui traverseront le temps, elle les accompagnera, son exubérance avec.
Alors que l’aînée pleure la mort de leur dernier parent, la cadette elle, se prend à rêver. Plus grosse fortune italienne, les deux jeunes femmes se retrouvent alors courtisées par des hommes dont la richesse et la noblesse dépassent toutes les espérances des jeunes filles à marier du pays. Luisa jette son dévolu sur le marquis Casati Stampa di Soncino, marquis de son état. Il ne lui plait pas, elle le trouve bête, mais il a au moins le mérite d’avoir une fortune bien établie.
1901 – Italie « È una ragazza ! »
La voilà maintenant mère, libérée de tout devoir conjugal. Le couple Casati décide alors de mener des vies séparées, pour le plus grand bonheur de Luisa qui s’occupe bien peu de sa fille, préférant le luxe et le faste des soirées qu’elle organise autour d’elle, et surtout pour elle. Luisa ne prend même pas la peine de s'occuper de son éducation. C'est à peine si elle se souvient de son anniversaire.
Oui, elle s’aime la marquise. Il n'y a pas de place pour un autre être dans son coeur. Son ambition est telle qu’elle rêve d’être plus représentée que la Sainte Vierge. Alors, elle donne son argent, devient mécène et se fait peindre. Ses portraits côtoient les animaux exotiques au Palazzo Venier dei Leoni. Chaque fête est l’occasion de dévoiler un nouveau portrait. « Regardez-moi comme jamais vous ne m’avez regardé » semble-t-elle leur dire à travers chaque événement. Lorsqu’elle organise ces mondanités, tout n’est que décadence, faste et luxe. Luisa se perd, se trouve, s’égare et se retrouve. Luisa se teint les cheveux en rouge et se pare d’un serpent en guise de collier. Ses chapeaux sont ornés de plumes de perroquet. L’ont dit d’elle qu’elle mange de la viande crue et boit du champagne pour garder la ligne. Luisa ne commente pas les dires, Luisa est bien au-dessus. « Je suis la Marchesa Casati, que voulez-vous que je vous dise de plus ? »
1906 – « Je crois que j’amuse le Prince. »
Sa transformation est une renaissance. Maintenant immortelle, la Marchesa n’a plus aucune limite. Égoïste, elle dépense sans compter, nourrissant les artistes, hébergeant le ballet russe, s’habillant avec des tenues plus extravagantes et plus coûteuses les unes que les autres.
On lui connaît alors de grandes colères, des excentricités sans nom. Elle ne peut plus sortir comme avant, elle s’emmitoufle d’ombre, fait fermer les volets de sa demeure, drape ses fenêtres d’épais rideaux. Certains la disent en prise à la folie, pourtant une fois la nuit tombée, elle jaillit, illuminée par la noirceur de ses journées. Et pour ne plus être seule, elle s’entoure. Elle prend des amants, des amantes, les aime, les fait s’aimer, apprend la liberté et se libère. La Casati apprend à être une autre personne, découvre le goût du sang et dompte sa soif irascible.
1920 – Berlin « Sarah Bernhardt ? Je la détrône. »
Dans son univers, il n’y a qu’elle. Après une année en France à s’obstiner à vouloir être plus célèbre que Sarah Bernhardt, la Casati fait son arrivée à Berlin, suivant Dracula comme une ombre afin de le satisfaire toujours plus. S’il y a bien une personne qu’elle craint plus qu’elle-même, c’est le prince. Tout ce qu’elle souhaite, c’est le divertir, se divertir. Alors parfois, elle va trop loin, et sans qu’elle ne sache pourquoi il passe outre. « C’est parce que je suis plus intéressante que cette connasse de Sarah Bernhardt ça. ». Comment cela peut-il en être autrement ? Sarah n’a pas été transformée.
Et parfois, ses oreilles frémissent quand elle entend un nom. Elle apprend que William Shakespeare est en vie, qu’il est l’un des siens, qu’il a eu de nombreuses autres vies. John Wilmot, Henry Fielding, John Keats et Oscar Wilde sont en fait la même personne. Elle rit à gorge déployée lorsqu’elle apprend qu’il est à Berlin. Autoritaire, elle déclare : « Il doit venir ce soir, invitez-le pour moi ! ». Mais il ne viendra pas. Qui est donc cet étrange personnage qui ose refuser l’invitation de la marquise ? « Je dois l’impressionner, c’est compréhensible ! » Elle se rend elle-même au Deutsches Theater. « Vous l’avez écrite pour moi. »
« Comment ? »
« Cette phrase-là, dans Antoine et Cléopâtre. C’était moi. »
« Vous êtes ? »
« Ne faites pas comme si vous ne saviez pas. » Levant son bras droit pour laisser son serpent du jour s’y enrouler, la marquise monte les marches qui la mènent à la scène. Sa peau diaphane se pâme devant la lumière lorsqu’elle déclame accompagnée de son accent : « L’âge ne peut la flétrir, ni l’habitude épuiser l’infinie variété de ses appas. »
« J’en ai connu dont l’interprétation était meilleure. »
« Je n’ai jamais prétendu être comédienne monsieur Shakespeare. »
Depuis, ils s’aiment, se détestent, se comprennent et Luisa s’en fiche. Elle le délaisse, il la délaisse et ils finissent par se retrouver. Il la fascine autant qu’il l’exaspère, c’est-à-dire bien trop.
Luisa Casati est immortelle, et c’est bien tout ce qui compte. Désormais, ce ne sont pas uniquement ses fantaisies qui traverseront le temps, elle les accompagnera, son exubérance avec.
Le joueur
Partie joueur
▬ Pseudo : Jospleen
▬ Prénom : Emilie
▬ Âge : 26 ans
▬ Pays: France
▬ Fréquence de connexion : Aucune idée !
▬ Inventé, tiré de la littérature, scénario ? Pré lien qui a existé !
▬ Comment avez-vous connu le forum ? Disons qu'il y a une petite sorcière qui fait du vaudou dans le coin + une demande de partenariat et me voilà
▬ Commentaires : Je suis tombée amoureuse de Luisa Je suis désolée par avance s'il y a des incohérences sur l'univers vampire, j'avoue ne pas trop m'y connaître (mais j'ai lu tous les annexes promis !). Si vous voyez quelque chose qui ne va pas, dans sa relation à Dracula notamment, n'hésitez pas à me le dire, je changerai ça !
▬ Pseudo : Jospleen
▬ Prénom : Emilie
▬ Âge : 26 ans
▬ Pays: France
▬ Fréquence de connexion : Aucune idée !
▬ Inventé, tiré de la littérature, scénario ? Pré lien qui a existé !
▬ Comment avez-vous connu le forum ? Disons qu'il y a une petite sorcière qui fait du vaudou dans le coin + une demande de partenariat et me voilà
▬ Commentaires : Je suis tombée amoureuse de Luisa Je suis désolée par avance s'il y a des incohérences sur l'univers vampire, j'avoue ne pas trop m'y connaître (mais j'ai lu tous les annexes promis !). Si vous voyez quelque chose qui ne va pas, dans sa relation à Dracula notamment, n'hésitez pas à me le dire, je changerai ça !