Moïra FInstern
▬ NOM : Finstern
▬ PRÉNOM : Moïra
▬ SURNOM :
▬ ÂGE : 25 ans
▬ DATE DE NAISSANCE : 2 Décembre 1896
▬ ORIENTATION SEXUELLE : Floue
▬ SITUATION FAMILIALE : Célibataire
▬ PARTICULARITÉS : Dame de compagnie spécialisée
▬ GROUPE : Humaine
▬ RANG DANS LE CLUB : Ignorante
▬ AVATAR : Idda Van Munster
▬ PRÉNOM : Moïra
▬ SURNOM :
▬ ÂGE : 25 ans
▬ DATE DE NAISSANCE : 2 Décembre 1896
▬ ORIENTATION SEXUELLE : Floue
▬ SITUATION FAMILIALE : Célibataire
▬ PARTICULARITÉS : Dame de compagnie spécialisée
▬ GROUPE : Humaine
▬ RANG DANS LE CLUB : Ignorante
▬ AVATAR : Idda Van Munster
▬ CARACTERE : Têtue, téméraire et sure d’elle, Moïra pourrait être une redoutable femme du monde si elle n’était pas si impulsive. La jolie brune ne sait pas garder son sang froid très longtemps et manque souvent de se taire. Que cela fasse parti de son charme ou non, elle est connue pour ses éclats rieurs ou dramatiques en public. Par ailleurs, le mensonge est une seconde peau, elle n’a pas souvent l’occasion de réfléchir à qui elle est vraiment.
▬ ANECDOTES : Elle n’est absolument pas au courant de l’existence des autres créatures de la nuit hormis les vampires. Elle est superstitieuse. Moïra n’a jamais été mordue par un vampire, un de ses mécènes a annoncé sa volonté d’en faire son calice –ce qui la garde des crocs des curieux- mais elle n’a pas encore décidé de son prix.
▬ HABITUDES : Elle a conservé l’habitude d’allumer une bougie le soir de shabbat pour penser aux siens.
▬ ANECDOTES : Elle n’est absolument pas au courant de l’existence des autres créatures de la nuit hormis les vampires. Elle est superstitieuse. Moïra n’a jamais été mordue par un vampire, un de ses mécènes a annoncé sa volonté d’en faire son calice –ce qui la garde des crocs des curieux- mais elle n’a pas encore décidé de son prix.
▬ HABITUDES : Elle a conservé l’habitude d’allumer une bougie le soir de shabbat pour penser aux siens.
Histoire
Fille d’une famille nombreuse juive orthodoxe, Moïra sut très tôt que son avenir ne serait pas celui qu’on lui réservait. Au mariage de sa troisième sœur Annah, elle surprit entre deux conversations que son père arrangeait déjà ses noces avec un lointain cousin. Elle n’avait alors que dix ans mais à défaut d’être surprise, elle fut terriblement déçue par la décision du chef de famille. C’était l’ordre des choses mais cela vint titiller un brin de fierté, ne méritait-elle pas mieux ? Au fil des saisons, l’enfant devint une radieuse jeune fille au teint de porcelaine et aux grands yeux d’un bleu profond. Les sourires se faisaient plus marqués à son égard et cela lui plaisait assez.
Moïra était vive, rieuse et adorait être au centre de l’attention. Malheureusement, cette joie de vivre trop étincelante commençait à déranger. On envoya alors sa mère pour lui faire entendre ce qu’on attendait d’une jeune femme et ce portrait morne heurta violemment les rêves de l’adolescente. Se montrer discrète, ne pas participer aux conversations si elle n’y avait pas été invitée, ne pas dévoiler ses pensées ou ses humeurs, se montrer patience, plus douce… était-ce donc pour cela que sa mère était ainsi ? Elle ressentit autant de rage que de pitié pour cette femme. Les aspirations de ses parents la rendirent de plus en plus colérique et l’enfant terrible brisait vases, lampes ou porcelaine à mesure que la pression pesait sur ses épaules.
À l’aube de ses quinze ans, l’horizon n’annonçait rien qui vaille. Ses fiançailles venaient d’être annoncées et Moïra décida de plier bagages. Elle avait cru un instant que son père l’avait considérée un peu mais non, son avenir ne lui appartenait décidément pas ici. Les siens estimaient qu’elle devrait coller à l’ombre d’une femme qu’elle n’était pas et gâcher son étincelle de vie pour « convenir » à un homme et une communauté dont elle n’avait plus rien à faire? Ce n’était pas une option.
Un soir d’octobre, après avoir fait les poches de son père et embarqué quelques babioles d’argenterie, elle gagna la gare de Francfort et prit le premier train pour Berlin.
Le salon de thé pour lequel travaillait la jeune femme grouillait d’animation et c’était pour son plus grand plaisir. Ciel ! Que cet emploi était ennuyeux ! Les journaux et les passants scandaient que l’époque changeait et que l’armée s’engageait pour la gloire de l’empire. La seule réalité fascinante depuis qu’elle était arrivée en ville était l’existence des vampires. Sa famille avait totalement occulté leur place dans le monde au point qu’elle mit plusieurs mois avant de comprendre qu’on ne se moquait pas d’elle.
Inquiète par l’ordre des choses, la jeune femme évita pendant très longtemps les créatures de la nuit. Au delà du danger réel qu’elles lui inspiraient, Moïra voyait dans leur incarnation un poids du monde céleste qui n’avait pas sa place dans son quotidien. Longtemps pieuse, elle avait appris comme le travail du bien était lié au rayonnement de l’être et de ses actions. Si l’homme est la lumière du bien, qu’est-ce qu’un vampire serait ? Peut-on croire qu’ils sont des personnifications du mal ? Pourquoi cette co-existence alors ? Plutôt que de se déchirer avec sa foi et sa raison, elle s’était rabattue sur le constat de son présent : les vampires étaient là. Moïra n’y voyait pas de complots comme certains ou de miracles comme d’autres. Ils étaient seulement là. Quelques uns étaient cordiaux, d’autres parfaitement détestables et l’humaine avait appris à ne pas trop les considérer pour qu’ils en fassent de même.
Cela faisait maintenant trois ans que Moïra était autonome et elle n’avait donné aucune nouvelle aux siens. Elle partageait une chambre avec deux femmes dans un quartier populaire de la ville. La première ne causait pas beaucoup et ressemblait à une vieille fille dont l’avenir ne promettait pas grand-chose. La seconde, Kristie, à peine plus âgée que la jolie brune, l’impressionnait beaucoup. Elle sortait chaque soir, vêtue comme une dame et maquillée avec soin. Elle possédait de nombreuses toilettes coûteuses et Moïra se demandait pourquoi sa comparse préférait dépenser ses deniers dans de tels apparats plutôt que d’investir dans une meilleure chambrée.
Mais lorsque Moïra eut 18 ans, le voile mystérieux se dissipa. Son acolyte l’invita enfin à la suivre. Elle la para comme l’était les grandes actrices, lui apprit quelques astuces de maquillage, de coiffure et l’embarqua avec elle dans la voiture qui venait les chercher. L’ingénue suivit les consignes et comprit rapidement les règles du jeu : mentir. Ainsi, elles se rendirent dans un salon privé à la riche décoration, rempli d’hommes tirés à quatre épingles et entourés de femmes toutes plus désirables les unes que les autres. Armée de son plus beau sourire et de toute sa fraicheur, la petite serveuse pouvait devenir qui elle le souhaitait, le temps d’une soirée.
Au fur et à mesure que les heures passaient, Moïra passa de fille de diplomate à héritière farfelue. Le jeu était plaisant, la séduction, un tour qui lui permit de boire plus que de raison. Son amie Kristie la convia à la suivre… et à la regarder. La candide chenille aperçut alors les secrets des danses lascives et comment devenir un papillon. Le champagne galvanisant ses désirs, elle découvrit ce qu’était alors le plus précieux pouvoir des femmes.
L’homme était charmant mais il conclut son affaire en lui laissant une liasse de billets. Amusée par la situation et encouragée par son alliée, elle se positionna en prédatrice d’un soir et gonfla son porte monnaie pour le reste de la nuit. Au petit matin, de retour dans son boudoir, Moïra ne réalisait pas… Tant d’argent pour une seule soirée à s’amuser ? Sa nouvelle passion était née.
La guerre fut rude et ravit les hommes comme s’ils n’étaient que des fourmis. L’activité de la belle devint alors plus compliquée mais c’est en temps de crise qu’il faut savoir saisir les opportunités. Les attentes de la fillette avaient évoluées. Les seuls hommes disposés à la satisfaire étaient ceux qui avaient un certain statut social et de l’argent. En ces temps troublés, il s’agissait donc d’hommes mûrs que les tranchées avaient déboutés ou d’hommes aux rangs prestigieux. Moïra développa son aura féminine au-delà de la fête et c’est en tant que dame de compagnie spécialisée qu’elle développa son art. Car oui, il s’agissait bien d’un art. La séduisante brunette ne se glissait même plus dans les bras des hommes pour gagner sa vie. Ses rendez-vous devinrent des expériences diverses ; des conversations, des jeux érotiques, des manigances en privé comme en public et sa clientèle, se déclinait aussi jusqu’auprès des vampires.
Après les affres de l’empire, le quotidien revint mais Moïra avait gagné en prestige. Connue pour son talent, elle avait deux mécènes en plus de ses clients réguliers pour mener la grande vie. À 25 ans, cette femme accomplie maîtrisait le raffinement, la vulgarité, l’esprit d’entreprise et la comédie. Il n’y avait pas beaucoup d’humaines qui avait l’honneur de soumettre à leur volonté les créatures de la nuit et c’était un secteur très en vogue à Berlin. Les audacieux des ténèbres étaient parfois tiraillés par leur humanité ou en manque de perception mortelle. Vous pourrez donc tout à fait croiser Moïra au bras d’un vampire, feignant l’amour ou le dégoût pourvu que son client en soit troublé.
Par ailleurs, elle apprit que ses parents avaient connu les brimades à cause de leur appartenance à la communauté juive. Elle ne pouvait s’empêcher de penser que leur foi les empêchait de voir le monde changer et de voir la place des vampires. Moïra avait décidé d’oublier le gros de sa culture et de sa tradition familiale. Ici, elle s’était réinventée, elle se voyait comme une étoile scintillante et les ombres de sa religion d’antan, elle n’en voulait plus. Néanmoins, si elle n’était plus croyante autant qu’elle le fut, elle était superstitieuse et très curieuse quant à la question du bien ou du mal. Elle avait même pu échanger avec un client immortel sur le sujet. Un pauvre bougre qui parlait de damnation éternelle alors qu’elle cherchait à comprendre s’il était encore un homme d’après la vision de son créateur ; Une lumière du bien qu’il fallait encore sculpté ou si cette lumière avait été soufflée pour servir les ténèbres. Il y avait encore beaucoup à découvrir sur le sujet. Moïra demeurera sensible à cette question pour un bon moment.
Moïra était vive, rieuse et adorait être au centre de l’attention. Malheureusement, cette joie de vivre trop étincelante commençait à déranger. On envoya alors sa mère pour lui faire entendre ce qu’on attendait d’une jeune femme et ce portrait morne heurta violemment les rêves de l’adolescente. Se montrer discrète, ne pas participer aux conversations si elle n’y avait pas été invitée, ne pas dévoiler ses pensées ou ses humeurs, se montrer patience, plus douce… était-ce donc pour cela que sa mère était ainsi ? Elle ressentit autant de rage que de pitié pour cette femme. Les aspirations de ses parents la rendirent de plus en plus colérique et l’enfant terrible brisait vases, lampes ou porcelaine à mesure que la pression pesait sur ses épaules.
À l’aube de ses quinze ans, l’horizon n’annonçait rien qui vaille. Ses fiançailles venaient d’être annoncées et Moïra décida de plier bagages. Elle avait cru un instant que son père l’avait considérée un peu mais non, son avenir ne lui appartenait décidément pas ici. Les siens estimaient qu’elle devrait coller à l’ombre d’une femme qu’elle n’était pas et gâcher son étincelle de vie pour « convenir » à un homme et une communauté dont elle n’avait plus rien à faire? Ce n’était pas une option.
Un soir d’octobre, après avoir fait les poches de son père et embarqué quelques babioles d’argenterie, elle gagna la gare de Francfort et prit le premier train pour Berlin.
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Le salon de thé pour lequel travaillait la jeune femme grouillait d’animation et c’était pour son plus grand plaisir. Ciel ! Que cet emploi était ennuyeux ! Les journaux et les passants scandaient que l’époque changeait et que l’armée s’engageait pour la gloire de l’empire. La seule réalité fascinante depuis qu’elle était arrivée en ville était l’existence des vampires. Sa famille avait totalement occulté leur place dans le monde au point qu’elle mit plusieurs mois avant de comprendre qu’on ne se moquait pas d’elle.
Inquiète par l’ordre des choses, la jeune femme évita pendant très longtemps les créatures de la nuit. Au delà du danger réel qu’elles lui inspiraient, Moïra voyait dans leur incarnation un poids du monde céleste qui n’avait pas sa place dans son quotidien. Longtemps pieuse, elle avait appris comme le travail du bien était lié au rayonnement de l’être et de ses actions. Si l’homme est la lumière du bien, qu’est-ce qu’un vampire serait ? Peut-on croire qu’ils sont des personnifications du mal ? Pourquoi cette co-existence alors ? Plutôt que de se déchirer avec sa foi et sa raison, elle s’était rabattue sur le constat de son présent : les vampires étaient là. Moïra n’y voyait pas de complots comme certains ou de miracles comme d’autres. Ils étaient seulement là. Quelques uns étaient cordiaux, d’autres parfaitement détestables et l’humaine avait appris à ne pas trop les considérer pour qu’ils en fassent de même.
Cela faisait maintenant trois ans que Moïra était autonome et elle n’avait donné aucune nouvelle aux siens. Elle partageait une chambre avec deux femmes dans un quartier populaire de la ville. La première ne causait pas beaucoup et ressemblait à une vieille fille dont l’avenir ne promettait pas grand-chose. La seconde, Kristie, à peine plus âgée que la jolie brune, l’impressionnait beaucoup. Elle sortait chaque soir, vêtue comme une dame et maquillée avec soin. Elle possédait de nombreuses toilettes coûteuses et Moïra se demandait pourquoi sa comparse préférait dépenser ses deniers dans de tels apparats plutôt que d’investir dans une meilleure chambrée.
Mais lorsque Moïra eut 18 ans, le voile mystérieux se dissipa. Son acolyte l’invita enfin à la suivre. Elle la para comme l’était les grandes actrices, lui apprit quelques astuces de maquillage, de coiffure et l’embarqua avec elle dans la voiture qui venait les chercher. L’ingénue suivit les consignes et comprit rapidement les règles du jeu : mentir. Ainsi, elles se rendirent dans un salon privé à la riche décoration, rempli d’hommes tirés à quatre épingles et entourés de femmes toutes plus désirables les unes que les autres. Armée de son plus beau sourire et de toute sa fraicheur, la petite serveuse pouvait devenir qui elle le souhaitait, le temps d’une soirée.
Au fur et à mesure que les heures passaient, Moïra passa de fille de diplomate à héritière farfelue. Le jeu était plaisant, la séduction, un tour qui lui permit de boire plus que de raison. Son amie Kristie la convia à la suivre… et à la regarder. La candide chenille aperçut alors les secrets des danses lascives et comment devenir un papillon. Le champagne galvanisant ses désirs, elle découvrit ce qu’était alors le plus précieux pouvoir des femmes.
L’homme était charmant mais il conclut son affaire en lui laissant une liasse de billets. Amusée par la situation et encouragée par son alliée, elle se positionna en prédatrice d’un soir et gonfla son porte monnaie pour le reste de la nuit. Au petit matin, de retour dans son boudoir, Moïra ne réalisait pas… Tant d’argent pour une seule soirée à s’amuser ? Sa nouvelle passion était née.
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La guerre fut rude et ravit les hommes comme s’ils n’étaient que des fourmis. L’activité de la belle devint alors plus compliquée mais c’est en temps de crise qu’il faut savoir saisir les opportunités. Les attentes de la fillette avaient évoluées. Les seuls hommes disposés à la satisfaire étaient ceux qui avaient un certain statut social et de l’argent. En ces temps troublés, il s’agissait donc d’hommes mûrs que les tranchées avaient déboutés ou d’hommes aux rangs prestigieux. Moïra développa son aura féminine au-delà de la fête et c’est en tant que dame de compagnie spécialisée qu’elle développa son art. Car oui, il s’agissait bien d’un art. La séduisante brunette ne se glissait même plus dans les bras des hommes pour gagner sa vie. Ses rendez-vous devinrent des expériences diverses ; des conversations, des jeux érotiques, des manigances en privé comme en public et sa clientèle, se déclinait aussi jusqu’auprès des vampires.
Après les affres de l’empire, le quotidien revint mais Moïra avait gagné en prestige. Connue pour son talent, elle avait deux mécènes en plus de ses clients réguliers pour mener la grande vie. À 25 ans, cette femme accomplie maîtrisait le raffinement, la vulgarité, l’esprit d’entreprise et la comédie. Il n’y avait pas beaucoup d’humaines qui avait l’honneur de soumettre à leur volonté les créatures de la nuit et c’était un secteur très en vogue à Berlin. Les audacieux des ténèbres étaient parfois tiraillés par leur humanité ou en manque de perception mortelle. Vous pourrez donc tout à fait croiser Moïra au bras d’un vampire, feignant l’amour ou le dégoût pourvu que son client en soit troublé.
Par ailleurs, elle apprit que ses parents avaient connu les brimades à cause de leur appartenance à la communauté juive. Elle ne pouvait s’empêcher de penser que leur foi les empêchait de voir le monde changer et de voir la place des vampires. Moïra avait décidé d’oublier le gros de sa culture et de sa tradition familiale. Ici, elle s’était réinventée, elle se voyait comme une étoile scintillante et les ombres de sa religion d’antan, elle n’en voulait plus. Néanmoins, si elle n’était plus croyante autant qu’elle le fut, elle était superstitieuse et très curieuse quant à la question du bien ou du mal. Elle avait même pu échanger avec un client immortel sur le sujet. Un pauvre bougre qui parlait de damnation éternelle alors qu’elle cherchait à comprendre s’il était encore un homme d’après la vision de son créateur ; Une lumière du bien qu’il fallait encore sculpté ou si cette lumière avait été soufflée pour servir les ténèbres. Il y avait encore beaucoup à découvrir sur le sujet. Moïra demeurera sensible à cette question pour un bon moment.
Le joueur
Partie joueur
▬ Pseudo : Moïra
▬ Prénom :
▬ Âge : 35 ans
▬ Pays : France
▬ Fréquence de connexion : Hebdomadaire
▬ Inventé, tiré de la littérature, scénario ? Totalement inventé.
▬ Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à un groupe facebook
▬ Commentaires : Même si mon personnage a un métier sulfureux, je ne tiens pas à jouer de RP sexuel tel quel. Je souhaite rester dans le suggéré et je fermerai la porte de la chambre lorsque Moïra aura des affaires à régler.:
▬ Pseudo : Moïra
▬ Prénom :
▬ Âge : 35 ans
▬ Pays : France
▬ Fréquence de connexion : Hebdomadaire
▬ Inventé, tiré de la littérature, scénario ? Totalement inventé.
▬ Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à un groupe facebook
▬ Commentaires : Même si mon personnage a un métier sulfureux, je ne tiens pas à jouer de RP sexuel tel quel. Je souhaite rester dans le suggéré et je fermerai la porte de la chambre lorsque Moïra aura des affaires à régler.: